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Politique : Nkoghe Bekale, sa démission ne fait plus l’ombre d’un doute.

  • lvdpgabon
  • 8 mai 2020
  • 2 min de lecture



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Il a réussi en une seule sortie lors de la conférence de presse du gouvernement le 27 avril dernier, à mettre toute l’opinion publique d’accord sur une chose :le costume est trop grand pour lui, et comme un appel au secours sa dernière sortie ce jeudi 07 mai devant les députés, à qui il a lancé, la larme à l’œil, «Jene gère que des crises » sonne la fin de la carrière du prince deNtoum.


Sans épiloguer sur les crises invisibles dont parle le vice-président de l’AJEV, nous pouvons lire dans ces multiples sorties de piste indignes d’un premier ministre, une incapacité à diriger le gouvernement et un besoin d’être mis au repos, ou en prison, le dossiers des 20 milliards du ministère du pétrole ayant été, selon des sources bien informées réouvert à la Commission nationale de lutte contre l’enrichissement illicite.



Le constat est sans équivoque :NkogheBekalén'en peut vraiment plus, Mis devant un micro son discours est incohérent, inaudible, médiocre.Difficile pour l'observateur de faire la différence entre une communication gouvernementale, et une discussion de Bar.



Qualifié de « fainéant » ou de « Premier ministrele plus nul » à cause de sa gestion catastrophique de la crise sanitaire actuelle, le Premier ministre gabonais ne manque pas une occasion pour se mettre négativement en spectacle, une aubaine pour ses détracteurs, une injure pour les populations qu’il est sensé servir, et qui doivent se contenter des sorties deCalimeroBekalé.


Cette crise aura montré plus que des faiblesses comme l’affirme JulienNkogheBekalé, cette crise aura surtout montré l’incompétence d’un chef du gouvernement en carton habitué à recevoir des ordres d’un BriceLaccrucheAlihanga.Remis dans le prestige de ses fonctions,NkogheBekalésemble perdu, et ne sait plus à quel saint se vouer, se laissant marcher dessus comme un ver par une PriscaKoho, Bouffie d’une arrogance qu'elle dissimule derrière la petite armée de médias à sa solde.


Selon Nkoghe Bekalé tout le monde à tort, lui seul a raison, selon Nkoghe Bekalé le peuple est trop exigent, le premier ministre qui a commencé à travailler en « 90 » s’estime en droit de ne pas avoir à répondre aux questions des députés car selon lui, il ne gère que des crises.


Les députés en tête desquels FaustinBoukoubiqui lui ont accordé leur vote de confiance, doivent rire jaune devant cette fin de non-recevoir qu’unNkogheBekalé, isolé et en fin de carrière vient de leur administrer.

Une attitude aux antipodes de la politique de son chef Ali Bongo Ondimba.



FaustinBoukoubiqui s’est assuré que la session soit diffusée en direct savait et voulait sans doute que le peuple gabonais, du moins pour ceux qui ne savent pas encore se fasse une idée du médiocre Premier ministre qui conduit la politique du Gabon, maintenant que tout est clair qu'il demissione et libère le fauteuil.





 
 
 

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