PACOME MOUBELET ET LIBAN SOLEMAN RICHES GRÂCE A NOS ORDURES !

C’est une histoire rocambolesque comme l’ancienne intelligentsia gabonaise en est friande. Le tout se passe au Gabon au début du premier mandant d’ami Bongo et met en scène un puissant ministre de l'Intérieur, un puissant chef de cabinet, et des milliards de subvention en jeu.

À la manœuvre le sulfureux Traoré Mantion, ce canadien d’origine ivoirienne ex tout puissant directeur général de la SOVOG sur les cendres desquelles Soleiman et Moubelet ne vont pas hesiter, profitant d’une confiance aveugle a eux donnée par Ali Bongo Ondimba a engager l’état dans une spirale de dépenses iniques dignes des plus grands crimes financiers.

En charge des collectivités locales, le ministre de l'Intérieur Pacome Moubelet contre toutes attentes va rentrer dans le capital de Clean Africa suivi par son acolyte Liban Soleiman ès qualité chef de cabinet du Président Ali Bongo et détendeur du cordon de la bourse.

Le deal est bien rodé devant la promesse d’une gestion efficace du phénomène d’insalubrité de la capitale, l’état va donner les Moyens à Liban Soleiman et Pacome Moubelet, nos deux éboueurs de circonstances ne vont pas hésiter du haut de leur position de donneur d’ordres et maitre d’oeuvres, nous nageons en plein d’inititié a fair epayer l’état du Gabon des sommes faramineuses on parle de plus de 40 milliards de francs par an.

Et quand l’état fait face à des tensions de trésorerie, Traoré Mantion le DG de Clean Africa entre dans la danse en retardant les salaires de ses employés qui par effet de conséquences vont perturber le process de collecte des ordures. Ce dernier sera d'ailleurs interpelé par les services dont le chef à ce moment un certain Pacome Moubelet qui sera quelques semaines plus tard le patron de Traoré Mantion chez Clean Africa

Liban Soleiman dont l’accréditation est toujours suspendue en Arabie saoudite à cause des nombreuses affaires qui le poursuivent était le maître des horloges de ce système bien huile, et connu de tous.

Comment un chef de cabinet et un ministre de l'Intérieur sont-ils devenus membres du conseil d’administration d’une société de collecte des ordures dont un est sensé surveiller l’activité ? Pourquoi Pacome Moubelet détenait la signature d’un compte BGFI dont l’essentiel des activités provenait des virements issus d’un compte appartenant à CLEAN AFRICA ? Comment l’état gabonais va t-il faire pour obtenir réparation devant ce qui s’apparente comme étant le casse de la décennie?

Moubelet et Liban seront-ils entendus pour faire la lumière sur ses activités aux antipodes des règles, ou bien garderont-ils honteusement le silence devant ces nouvelles révélations de crimes financiers qui les éclaboussent?

Pacome Moubelet maitre à penser du MOGABO fait profile bas depuis quelques mois, au-delà de quelques réunions secrètes dont le contenu n’intéresse pas grand monde il est temps qu’il réponde de ses agissements.