NOUREDDIN BONGO PAIE LA VOLONTE DE L’EXECUTIF D’ASSAINIR L’ADMINISTRATION DE TOUS SES VOLEURS

Engagé depuis sa nomination à conduire les affaires présidentielles, Nourredin Bongo paie la volonté présidentielle de lutter contre la corruption au Gabon.

Une volonté qui s’exprime de la plus forte des manières avec l’opération baptisé scorpion qui est actuellement en cours, et qui a permis de mettre hors d’état de nuire des proches collaborateurs du Président Gabonais.

La concentration des attaques, en tout genre contre le coordinateur générale des affaires présidentielles, part d’une volonté de créer dans l’opinion un historique, qu’il soit avéré ou pas. Le plus surprenant c’est le timing.

Pour qui roule exactement dynamique unitaire dans cette affaire ? Les regards avisés se tournent vers la prison centrale d’ou certains mouvements de l’opposition et d’une soit-disant société civile prendraient leurs instructions afin de torpiller l’action du Président de la République sous couvert de revendication sociale.

Cette histoire monté de toutes pièces, d’une voiture remplie d’argent, arrêtée par des gendarmes dans un quartier de Libreville, argent qui appartiendrait à Nourredin Bongo est le scénario d’un médiocre sortie tout droit des usines à fake-news qui pullulent sur les réseaux sociaux gabonais.

Le fait inédit est que cette histoire puisse servir de base à une plainte et entamer le reste de crédibilité qui restait à certains leaders syndicaux.

Car nul besoin d'etre major de promotion en droit pour savoir que cette plainte est juste une volonté de nuir, de créer une distraction médiatique autour du coordinateur générale des affaires présidentielles.

Faisant feu de tout bois quand il s’agit du Gabon, les médias francophones ont sauté sur l’occasion pour entretenir un Gabon Bashing permanent. De TV5 à RFI les experts se sont penchés sur la question de la plainte, occultant volontairement qu'elle était le fait d'une fake-news.

La plainte pour dénonciation calomnieuses des avocats de Nourredin Bongo doit perseverer afin de donner une lecon aux ennemis du Gabon, et à ceux qui combatent les hommes et non les bilans.