Leur travail, c’est coucher et enceinter les filles qui venaient au Trocadéro
- lvdpgabon
- 20 mars 2019
- 2 min de lecture
Né, de ce qu’on appelle, l’effet de meute, les manifestations du Trocadero qui exigeaient que Jean Ping soit désigné Président semblent avoir été le lieu de tous les vices.
90% des manifestants du TROCADERO n’ont même pas voté en 2016, des étudiants des sans-papiers que la vie française avait mis à genoux se sont retrouvé des nouvelles fonctions sur Facebook.
Ayant vu dans ce mouvement un excellent porte voix jean Ping va mettre les moyens, via ses parents Toumane Marceau et Cie. Ce sont eux qui vont gérer la manne au mépris des associations constitués qui ont soutenu le perdant de l’élection présidentielle de 2016.
C’est ainsi qu'affiches, transports en bus, seront financés pour faire le nombre, et être vu sur TV5, une chaine proche de Jean Ping, les images des lives sont envoyés au Gabon pour motiver le peuple oppressé, qui en réalité vague à ses occupations dans un pays où il fait bon vivre et tout se construit. Nous n’allons pas refaire l’histoire.
Malgré le fait que cette fumisterie ait été démantelée ..Plus de Marceau Malekou au Trocadero, plus d’étudiants transportés par Bus entier depuis la province, certains semblent avoir un bilan plutôt satisfaisant dans un autre secteur.
Jonas Moulenda, Suzanne Barat, Fabien MERE, leur appétit sexuel n’a jamais été aussi satisfait que pendant ces quelques mois de « résistance » C’est en tout cas ce qu’affirme Madeleine A une ancienne du TROCADERO.
« On venait ici pour réclamer, et donner de la force à nos frères du Gabon, la moitié d’entre nous n’avait même pas voté..Demandez à ADJATYS , MERE, MALEKOU, et BARAT, de vous dire dans quel bureau ils ont voté Jean Ping, c'est des opportunistes, par contre pour coucher les filles ils sont forts…. Si seulement Winnie MERE savait la débauche de son père »
Fabien MERE est un avocat gabonais qu’une erreur de casting avait emmené dans un des gouvernements d’OMAR BONGO, débarqué du gouvernement pour incompétence, il se rappelle au bon souvenir de l’opinion publique gabonaise pendant la longue campagne élétorale de Jean Ping.

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