GUERRE CIVILE: JUSTINE LEKOGO, ANCIENNE MINISTRE, ET PETITE AMIE DE BRICE LACCRUCHE MENACE

"La loi est une toile d'araignée. Elle n'arrête que les insectes. Et les oiseaux passent à travers." qui sont les insectes? Et qui sont les oiseux? Ne plantons pas les germes de l'anarchie et de la justice populaire! Une guerre civile ne prévient pas! Omar Bongo nous disait de faire très attention! Preservons le Gabon!

C'est par ces mots que Justine Judith Lekogo, plus connue comme étant la petite amie de Brice Laccruche Alihanga s'est exprimée sur sa page Facebook, le mercredi 4 décembre 2019. Les propos certes indignes mais qui ne choquent pas quand on connait les petites vertus de la très éphémère Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Economie, dont la nomination à ce poste n'a rien avoir avec une quelconque expertise au FMI, même si cette dernière le revendique, une revendication qui fait sourire dans les milieux financiers tant le personnage n'a jamais été économiste du FMI comme celà s'entend sur le plan international.

Mais tout au plus une simple "chargée de mission" pour la mission résidente au Gabon.

Alors qu'elle a été débarqué de ce poste usurpée il y'a quelques semaines, et malgré le fait qu'elle se prévaut comme étant la pierre angulaire des accords Gabon-FMI...une insulte aux experts qui travaillent sur ces thématiques depuis des années, " La femme de l'autre" comme l'a surnommé l'ancien ministre Roger Owono, s'est apparement lancée dans une vendetta contre la personne d'Ali Bongo et des autorités judiciaires qui sont entrain de démanteler un vaste réseau de détournements de fonds publics, dont son amant Brice Laccruche Alihanga semble vraisemblablement être le chef de Gang.

Celle qui se voyait sans doute "Première Dame" n'en démord pas. Entre pamphlets, citations, et menaces son profil Facebook à la gloire de Brice Laccruche est devenu un véritable mur des lamentations.

Dans tous les cas, la justice gabonaise devrait rappeler à l'ancienne très éphémère ministre, le contenu du serment qu'elle a récitée, main droite levée, devant le chef de l'Etat. Cette fois-ci les pratiques fétichistes essayées sur Laccruche ( il s'en est plaint à plusieurs reprises ) ne marcheront pas.

Porte des menaces contre l'autorité de l'Etat ne peut pas ainsi rester impuni.