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GABON : BRICE LACCRUCHE ALIHANGA AU BOUT DU ROULEAU

  • lvdpgabon
  • 25 mai 2020
  • 2 min de lecture

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Il y a des moments dans la vie où l’on a envie de se réveiller comme d’un cauchemar. C’est sans doute un de ses moments qu’est en train de vivre l’ancien puissant directeur de cabinet, Brice Laccruche Alihanga. Le chef de l’Ajev qui avait réussi à se payer la loyauté du Premier ministre (toujours en fonction) vit un mauvais rêve, empêtré dans un feuilleton judiciaire, lâché de tous les côtés par ses acolytes qui négocient des accords avec la justice, Brice Laccruche Alihanga est un homme seul, réduit à faire les gros titres de la rubrique des faits-divers. Le séjour des frères Alihanga en prison est un feuilleton sans fin, alors qu’ils doivent tous répondre de faits graves de détournements de fonds, et certainement d’atteinte à la sûreté de l’Etat, ces derniers semblent avoir décidé de lier la préparation de leur défense à la création de petites affaires dans lesquelles Brice Laccruche Alihanga est toujours présenté comme une victime du « système. » La dernière tentative de se soustraire à la justice de Brice Laccruche Alihanga fait partie de ces opérations qui consistent à présenter le bourreau du palais comme une victime. N’eut été la prise en otage des réseaux sociaux par Alexandre Awassi, Theophane Nzame, alias Sidor Zang les Gabonais en auraient eu à satiété du pauvre laccruche, raison pour laquelle certains médias à la solde de l’ancien directeur de cabinet ont décidé de traiter de cette actualité ce lundi. Brice Laccruche Alihanga,  contrairement à ce que ses petites histoires en cellule veulent démontrer, Brice Laccruche est  un sadique chef de gang,  repris de justice dont le curriculum vitae criminel est sans équivoque, et les dernières revelations de l'opération scorpion qui mettent en évidence les liens entre Laccruche Alihanga et des évènements qui ont visé à déstabiliser l’état, on parle de l’affaire de la parodie de coup d’état organisé par Kelly Obiang, ont convaincu Alihanga que mettre fin à ses jours était une manière d'en finir avec ce mauvais rêve.


En finir avec ses jours pour ne pas subir l'humiliation d'un procès et devoir répondre de ses actions, mettre fin à ses jours parce qu'on se sait coupable, une attitude en plus d'être d'une extrême lâcheté, montre pour la première fois la culpabilité d'un homme au grand jour. Mais contrairement à celle de Laccruche Alihanga, la main de la justice gabonaise ne tremblera pas quand il s'agira de lire le droit.

La culpabilité peut pousser à toutes sortes d'imbécilités on le savait, Brice Laccruche Alihanga dont le nom est désormais lié aux pages les plus sombres de l'histoire du Gabon vient encore une fois de donner la preuve.


 
 
 

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