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EDITO: Julien Nkoghe Bekalé, le prince feignant et la pagaille du covid19

  • lvdpgabon
  • 27 avr. 2020
  • 3 min de lecture

 

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Julien Nkoghe Békalé, le Premier ministre Gabonais aura eu le merite en 2 ans de catalyser toutes les recriminations d'une population à bout, jamais un chef de gouvernement n'aura été autan detesté par ses compatriotes, la société civile et les politiques de tout bord. Malgré un bilan qui coche toutes les cases de la médiocrité, il tient bon. Julie Nkoghe Bekalé, le président d’honneur de l’Ajev et avec lui certains membres de son équipe a réussi à faire de la mise en application des mesures d’accompagnement voulues par son chef Ali Bongo une véritable pagaille, en transformant une crise sanitaire en crise sociale. Alors qu’il a brillé par un manque de leadership dès les premières heures de la crise sanitaire, le Premier ministre à qui on prête à tort ou à raison des intentions pour 2023 met un effort considérable à saboter les projets de l’exécutif.  Depuis la chute de Brice Laccruche Alihanga a qui il aurait prêté allégeance contre espèces sonnantes et trébuchantes.

Acte : 1 Alors que le principe d’une action de solidarité des membres du gouvernement au profit des Gabonais économiquement faibles ne faisait aucun doute à l’annonce du confinement, Julien Nkoghe Bekalé va freiner des quatre fers pour empêcher que ses collègues et lui ne participent au fond de solidarité. Ce sera finalement un vulgaire 100 millions que les 31 ministres vont cotiser, une insulte quand on sait que pour une seule mission au cap Esterias à quelques kilomètres de Libreville, le président d’honneur de l’ajev s’était fait remettre 200 millions de francs CFA. 200 millions pour 2 jours, il sait y faire le julien. Mais que peut-on attendre du prince feignant dont un cinquième de l’équipe de l'équipe qu'il dirigeait il y 'a encore 6 mois croupie en prison pour des faits qu’ils auraient commis sans que Julien Nkoghe de sa qualité de Premier ministre ne soit au courant. Incompétence ou Sabotage ? Dans les deux cas une solution, c’est la démission. Une démission appelée part toutes les couches de la population gabonaise 

Dans les rangs du PDG le parti au pouvoir on a rarement assisté à autant d’incompétence, et d’impreparation de la part du chef du Gouvernement. Questionné il y a 2 semaines sur la catégorie des sanctions prévues pour ceux qui enfreindront les règles de confinement, c’est un julien Nkoghe Bekale, dans un costume trop grand pour son niveau intellectuel qui va bégayer devant le jeune Harold Leckat, brillant propriétaire de Gabon Media Time. La crise sanitaire que traverse actuellement le Gabon met à nue une réelle incompétence du Premier ministre à diriger une équipe gouvernementale dans laquelle chacun gère sa petite boutique. En 3 jours Prisca KOHO NLEND a démontré tout le mal qu’on pensait d’elle, rachetée par Brice Laccruche à la suite d’une tournée au cours de laquelle elle s'est donnée  CORPS et âme, la ministre de la solidarité nationale n’a pas été recadrée par son supérieur Julien nkoghe bekale, le prince feignant prend son pied en regadant le gouvernement se vautrer dans une pagaile sans nom.

Pour Julien Nkoghe Bekalé, dont l’incompétence n’est plus à démontrer, il est temps de plier bagages, ce management de l’approximation ne saurait survivre au coronavirus, ce serait une double peine pour le peuple gabonais qui saura se passer de celui qui a été incapable au micro d’une chaîne de télévision publique de chiffrer le nombre de classe à construire en 2020. Quand on a combattu l’AFD à Ntoum pour empêcher la construction d’une école, il s’agit d’un acte de cohérence. La cohérence survient aussi quand alors que l’état d’urgence a été prorogé, depuis samedi, c’est dimanche à 23 h que les services de Julien Nkoghe décident de communiquer sur le maintien en l’état des règles de confinement. Le Gabon, mérite mieux, le Gabon ne mérite plus un Premier ministre, feignant et incompétent. La chute Brutale de Brice Laccruche Alihanga semble avoir créé chez le Premier ministre Gabonais une onde de choc qui le paralyse le peu de compétence qu'on lui aurait preté;  Opposition- majorité  et troisième voie demandent au President Ali Bongo Ondimba de prendre ces responsabilités.


 
 
 

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